quelques notes...
…en passant
Contrairement à Pour une juste cause, la figure de Staline est très présente dans tout passe, avant dernier récit de Vassili Grossman. Il y est tour à tour montré comme cruel, pervers, menteur, manipulateur, véritable incarnation de l’Etat totalitaire soviétique.
L’histoire assez saisissante du naufrage d’un navire de la compagnie des indes au large de l’Australie.
L’histoire de la Horde d’Or, empire nomade qui a (partiellement) succédé à l’empire Mongol créé par Genchis Khan.
Staline n’est quasiment jamais mentionné dans les 1000 pages de Pour une juste cause ; deux occurrences en tout et pour tout, toutes deux très courtes, presque lapidaires
Le destin de Xu Fugui, de la Chine pré-révolutionnaire jusqu’à la Chine d’après Mao.
A travers une dizaine de portraits, qui sont autant de nouvelles, Ramina Navai dresse le portrait d’une société Iranienne rongée par le mensonge.
Dans ce court essai, Alaa El Aswany dresse le portrait des sociétés générées par les dictatures.
Censure et vérité